Lesvendredi 21 et samedi 22 janvier, à 20 h 30, et le dimanche 23, à 15 h, au théâtre de Saint-Laurent-de la-Plaine. Les réservations sont ouvertes au
Ledernier développement du raid de Trump met totalement en pièces la narration du FBI. Un nouveau rapport explosif révèle que le procureur général Merrick Garland a attendu des semaines avant de signer le raid du FBI contre Trump. Publié le 17.8.2022 Y a-t-il une mise à jour sur la récente perquisition du FBI à
JohannaBoyé. Johanna boyé se forme d'abord au théâtre chez Véronique Nordey, puis intègre l'école des Ateliers du Sudden. Elle collabore avec plusieurs metteurs en scène en tant que comédienne avant de monter, en 2004, la compagnie Les Sans Chapiteau Fixe, structure indépendante qui se construit autour de ses mises en scène.
Fast Money. Projet théâtre 2014/2015 L’année dernière avec mes CE1/CE2 j’ai adapté des albums de jeunesse Je suis le plus beau », Je suis le plus fort » et Le loup sentimental » pour en faire des pièces de théâtre et ce fût une réussite ! Notre spectacle de fin d’année fût sympathique ! —————————————- Cette année j’ai des CE2 et j’ai décidé de faire une vraie pièce de théâtre ! Je suis tombée par hasard sur un texte qui m’a littéralement emballée ! Plein d’humour comme j’aime ! et en plus je vais jouer mon propre rôle dans cette pièce ! YES ! Cette année nous ferons le spectacle de fin d’année en juin mais nous devrions participer à la soirée théâtre de nos collégiens dans la salle des fêtes de notre village ! ——————————————– –>Pour commander clic ici ! La manifestation Un texte de théâtre savoureux, idéal pour les spectacles de fin d’année ! Auteurs Grégoire Kocjan Illustrateurs de couv. Karine Bernadou Date de parution 26/08/2010 Dès 8 ans Résumé L’école est fermée. Les instituteurs ? Pouf ! disparus, volatilisés. Devant l’établissement, les élèves mécontents manifestent. On veut des devoirs ! » Vive les dictées ! » La maîtresse leur manque… Ah, la maîtresse ! Sa voix quand elle faisait l’appel, son parfum, et même les punitions qu’elle donnait, c’était bien ! Et puis peu à peu, les élèves commencent à perdre leurs mots et à tout mélanger… 3 euros le livre ——————————————– Ce que j’aime dans cette pièce ? Le texte est truculent ! C’est un univers bien connu des enfants, c’est un contrepied fort sympathique à jouer les enfants qui veulent retrouver leur maîtresse pour travailler, pour être moins bête, pour ne pas se bagarrer … » C’est un texte sympathique à jouer pour les élèves … en quelques séances je suis épatée par le talent de mes élèves !!! Des émotions diverses à jouer, des personnalités différentes, une maîtresse qui joue son rôle et qui participe au spectacle de plein pied ! Bref j’ai adoré ! ——————————————- Structure de la pièce *Scène 1 Groupe A = un meneur et 3 enfants + 2 passants adultes + groupe B + C 1 enfant en arrière plan *Scène 2 Groupe B = un meneur et 4 enfants + Groupe A + C 1 enfant en arrière plan *Scène 3 Groupe A + B + C 1 enfant + la maîtresse L’enfant du groupe C est un enfant dissipé qui ne pense qu’à faire des blagues pas très sérieux … il ne parle qu’à la fin il clôt le spectacle ! C’est le contrepied de ses camarades … lui est ravi de ne pas aller à l’école ! Ce qui fait une pièce à 12 élèves + 1 maîtresse J’ai donc divisé mon groupe de 24 élèves en 2 et nous ferons deux représentations. —————————- Nous avons donc fait deux représentations public en salle des fêtes devant des spectateurs admiratifs du travail effectué par leurs enfants. Si j’obtiens la permission de tous les parents d’élèves, je diffuserai très bientôt la vidéo du spectacle si cela vous intéresse ?
Il était réputé pour ses pièces provocantes affichant toujours complet. A Moscou, le Centre Gogol, théâtre transformé en nid de liberté par l'artiste aujourd'hui exilé Kirill Serebrennikov, a joué jeudi soir son dernier spectacle "Je ne fais pas la guerre."Des mots qui résonnent, dans le contexte de l'assaut russe en cours depuis plus de quatre mois contre l'Ukraine et qui a entraîné en Russie un nouveau tour de vis contre ceux qui ne pensent pas comme le salle est pleine, l'émotion forte, les applaudissements s'enchaînent. Sur scène, les acteurs interprètent des textes du poète et ancien soldat Iouri Levitanski 1922-1996, très apprécié de l' titre est tiré d'un vers emblématique "J'ai presque tout oublié, je veux tout oublier. Je ne fais pas la guerre, la guerre se fait en moi". Avant la représentation, des spectateurs ont déposé quelques roses devant le théâtre aux murs blancs, comme à des funérailles. "Ils ferment tout, ils bloquent tout", déplore Daria Kojevnikova, une enseignante de 36 ans. Elle marque une pause, puis un étrange sourire traverse son visage couvert de taches de rousseur "On sera bientôt tous enchaînés." Le directeur artistique du centre Gogol Alexeï Agranovitch G, qui avait remplacé en février 2021 son directeur historique Kirill Serebrennikov, éjecté de son poste par le pouvoir, après la dernière représentation, le 30 juin 2022, de ce théâtre fermé par les autorités / AFP Alors qu'un nouveau rideau de fer s'est abattu entre la Russie et l'Europe, le pouvoir russe accélère sa répression contre toute critique de l'offensive en Ukraine. A coup de fermetures d'organisations, d'amendes et de peines de maintenant au tour du Centre mairie de Moscou a annoncé que le théâtre, une scène municipale, allait changer de direction à la rentrée et retrouver son nom d'antan - Théâtre dramatique Nikolaï Gogol - celui d'avant l'ère Serebrennikov, quand on y jouait des pièces bien plus autre théâtre moscovite réputé, le Sovremennik, va aussi changer de direction. - "Symbole de liberté" -Entre 2012 et 2021, Kirill Serebrennikov a été le directeur artistique du Centre Gogol et en fait un pilier de la vie culturelle russe. On y montait des pièces endiablées mêlant performance, critique sociale, sexualité. On y invitait des artistes étrangers."C'est un endroit où ils avaient réussi à mêler la modernité, la mode et l'art. Un endroit qui montrait aux jeunes que c'est cool de faire de l'art", témoigne Alia Talibova, une Moscovite de 39 ans venue au dernier la dernière représentation, le 30 juin 2022 à Moscou, du Centre Gogol, théâtre connu pour son indépendance et fermé par les autorités, une spectatrice se fait prendre en photo tenant une pancarte disant "Je ne fais pas la guerre", ce qui est également le titre de la pièce jouée ce dernier soir / AFP En février 2021, Serebrennikov avait été éjecté de son poste, quelques mois après avoir été condamné dans une affaire de détournements de fonds dénoncée comme une punition du pouvoir. L'un de ses collaborateurs, Alexeï Agranovitch, avait pris le relais, avant d'être lui-aussi remercié cette semaine."C'est injuste, ça fait très mal et ça ne devrait pas arriver, surtout au XXIe siècle quand on prétend avoir un pays et une société civilisés", affirme à l'AFP Ilia Vinogorski, un acteur de 22 ans présent jeudi au Centre Gogol."Serebrennikov, c'est un symbole de liberté", abonde Liza Maximova, une étudiante de 19 ans. "C'est avoir le choix de parler de ce qu'on veut, de parler de l'être humain, de ce qui est important pour nous."Après le spectacle, des spectateurs boivent dans la pénombre un dernier verre dans le café du Centre Gogol. D'autres se prennent en photo en tenant un panneau où est écrit "Je ne fais pas la guerre."Opposé au conflit en Ukraine, Kirill Serebrennikov a quitté la Russie fin mars et vit désormais en exil en Allemagne. Cruel contraste, il met en scène en juillet le spectacle d'honneur du festival d'Avignon, dans le sud de la France, le plus grand festival de théâtre au monde. Dès l'annonce du remaniement du Centre Gogol, il a dénoncé "le meurtre" de son projet artistique. Puis il a pris la parole pendant la dernière représentation du Centre Gogol, par visioconférence, depuis la Cour d'honneur du Palais des Papes à Avignon. "Nous sommes des gens pas du tout agréables pour le pouvoir", a-t-il lancé à son public. "Mais on va vivre longtemps et j'espère qu'on verra, un jour ou l'autre, la fin de la guerre et le début d'une belle Russie tournée vers l'avenir."video-bur/ia
Johanna BOYÉ - Théâtre Montparnasse Johanna BOYÉ Johanna Boyé se forme d’abord chez Véronique Nordey, puis intègre l’école Les Ateliers du Sudden. Elle collabore avec plusieurs metteurs en scènes en tant que comédienne avant de monter, en 2004, la compagnie Les Sans Chapiteau Fixe, structure indépendante qui se construit autour de ses mises en scènes. Elle y présente Le Café des jours heureux et Le Diable en Partage de Fabrice Melquiot au Théâtre de 2013, elle présente le concours Prix Théâtre 13 dont elle sera doublement lauréate, Prix du jury et Prix du public avec la pièce Le Cas de la famille Coleman de C. Tolcachir. Cette pièce rencontre un joli succès et obtient en outre le prix d’interprétation du Festival d'Anjou et le coup de cœur de la presse du Festival Off d'Avignon. Elle entame alors une belle collaboration avec Thibaud et Fleur Houdinière, producteurs d’Atelier Théâtre elle répond à des commandes de mises en scène pour d’autres structures Le Mirage des Forains pour l'Académie Fratellini, Le Couronnement de Poppée pour le Théâtre de Bordeaux, et Traviata pour le Théâtre des 2016, elle adapte et met en scène La Dame de chez Maxim de Georges Feydeau, spectacle créé au Festival Off d’Avignon, repris au Théâtre 13 puis au Théâtre Rive Gauche, qui obtient trois nominations aux Molières 2017 dans les catégories meilleur spectacle musical, révélation féminine et meilleure actrice dans un second 2018, elle met en scène Virginie Hocq et Zinedine Soualem au Théâtre Tristan-Bernard dans C’était quand la dernière fois ? ainsi que Est ce que j’ai une gueule d’Arletty ? d’Éric Bu et Élodie Menant au Festival Off d’Avignon cours de la saison 2019 elle met en scène Les Filles aux mains jaunes de Michel Bellier, pièce sur la naissance du droit des femmes, et entame une nouvelle collaboration avec l’autrice et comédienne Élodie Menant sur le spectacle Je ne cours pas je vole, qui sera créé en Avignon elle met en scène le prochain spectacle de Virginie Hocq à Bruxelles et s’apprête à mettre en scène Le Visiteur d’ Schmitt pour Avignon 2020. Scroll
c était quand la dernière fois pièce de théâtre